Nos déjeuners-lecture à 11H30

Deux lectures dans un même crénau horaire pour une sortie en famille...

Les petits et les grands qui ont gardé une âme d'enfant viendront déguster les mots de Sepulveda, les mets choisis avec la complicité de Brins de Terroir et les oeuvres atypiques de Malifance.

Les grands qui ont emmené leurs petits, les grands qui viennent entre grands, les petits qui veulent être grand et les grands amateurs de mets et mots écouteront le Merle, dans une installation Land Art de Myriam du manoir.

Zorbas, le chat grand noir et gros, a promis à la mouette qui est venue mourir sur son balcon de couver son dernier œuf, de protéger le poussin et de lui apprendre à voler. Tous les chats du port de Hambourg vont se mobiliser pour l'aider à tenir ces promesses insolites.
A travers des aventures rocambolesques et drôles, on découvre la solidarité, la tendresse, la nature et la poésie.

Exception faite de ses essais en linguistique, connus seulement de quelques érudits, la gloire d'Arthur Keelt (Klagenfurt, Autriche, 1902 - Paris, 1982) tient à cet unique et bref récit, Le Merle (Die Amsel), écrit en 1954 dans les montagnes de Styrie et publié à Innsbruck.
Le Merle est-il une chronique autobiographique ? Comme le souligne Jean-Bernard Pouy, son traducteur, il convient plutôt de parler de " récit voltairien ", même si son auteur en est le personnage central. Arthur Keelt se voulait un bouddhiste atypique. Peut-être doit-il à cette disposition d'esprit une écriture toute de simplicité et qui parfois atteint à la grâce, ainsi qu'une rare hauteur de vue (2277 m).

Une curiosité de la littérature, absurde et jubilatoire...

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